Prendre RDV

Novembre, le mois sans tabac

21 Nov 2022 | Blog

Vous voulez arrêter de fumer ?

C’est une belle initiative, un magnifique décision.

Qu’est-ce qui pourrait vous décider ?

Peut-être un déclic libérateur sur une idée reçue.

Une des plus répandues est que :

 

Fumer, c’est convivial.

Cette idée repose sur l’expérience que l’on fait lorsque l’on commence à fumer.

Souvent, c’est à l’adolescence, pour « faire comme les autres ».

Pour s’intégrer au groupe, faire comme les autres, pouvoir lier des connaissances, on teste la première cigarette.

La cigarette est alors un facteur de socialisation, qui brise la glace et permet d’entrer en contact : « Tu n’aurais pas du feu ? »

On fume à plusieurs, on est content de faire partie d’un groupe, on en ressent de la satisfaction, donc des émotions positives.

Le cerveau, qui aime les circuits simples, va faire un raccourci entre cette impression agréable et le tabac. Il va construire de toutes pièces un lien entre la cigarette et le plaisir d’être ensemble.

Cette construction mentale ne repose pourtant sur rien de réel.

Car on peut très bien éprouver de la convivialité sans fumer.

Sans doute, avez-vous déjà participé à une fête ou un repas, une soirée au théâtre ou au cinéma, un évènement au cours duquel nous n’avez pas fumé.

Parce que c’était interdit, ou pour faire plaisir à quelqu’un et respecter son désir, voire même parce que vous n’y avez pas pensé.

Et pourtant ce moment était convivial, agréable, plein de joie et de bonne humeur.

Peut-être est-ce cette expérience qui vous a fait prendre conscience qu’il était possible pour vous de vous sentir bien, de vous amuser, de prendre du plaisir, de la détente, tout en restant dynamique, sans cette béquille.

 

A moins que vous n’en puissiez plus de voir combien l’industrie du tabac vous manipule depuis toujours ?

Aucun libre arbitre dans la décision de fumer.

Que ce soit au travers des belles images du cow-boy sur son cheval allumant sa cigarette ou celles de la jolie jeune femme émancipée fumant avec désinvolture, l’industrie du tabac utilise depuis longtemps les connaissances du marketing et des neurosciences pour inciter à fumer.
Elle alimente ainsi le mythe que la cigarette est un produit cool.

Le tabagisme est devenu une mode, puis très vite un produit d’appel pour d’autres marchés : l’alcool, les fabricants de voitures qui incluent des allume-cigare dans les véhicules, les produits de luxe (boites à cigarettes, cendriers, briquet), les compétitions sportives avec le sponsoring.
On trouvait même des cigarettes en chocolat, placées en bonne position chez les buralistes, à hauteur des yeux des enfants. Promesse pour eux d’accéder à ce monde des « Grands ».

Les publicitaires rivalisent depuis toujours d’inventivité.

Dès les années 1920, l’industrie du tabac a ajouté du menthol dans les cigarettes pour “rafraîchir la fumée” et masquer son côté irritant. Le menthol est en effet efficace contre la toux. Anesthésique local, il permet ainsi d’engourdir les parois de la bouche et de la gorge.

Mais cet emprunt à la médecine est un cache-misère permettant aux fumeurs de ne plus sentir le goût âcre de la fumée et au contraire, ils inhalent encore plus en profondeur.

Et l’arrivée des « vapoteuses » n’est en rien un progrès.

La cigarette électronique entretient l’habitude, la gestuelle, le lien qu’a développé le fumeur avec le tabac.
On appelle cela un « ancrage ». Plus on recommence une habitude, plus elle s’installe.

Aujourd’hui, les “puff”, ces mini-cigarettes électroniques jetables, proposent des parfums pour tous les goûts : litchi glacé, milk-shake, marshmallow, bubble-gum, choco-noisette…

Des adolescents “essaient” tous ces goûts attractifs et récréatifs.

Des adultes “goûtent” ces parfums régressifs.

Des êtres humains régressent pauvrement tous ensemble, leur tétine à la bouche…

J’ai accompagné une personne qui a stoppé suite à cette prise de conscience : elle ne voulait plus être un tel exemple pour ses enfants.

 

Une autre a réalisé que :

Le tabac a un impact considérable sur notre environnement.

Un continent de plastique flotte dans le Pacifique entre Hawaï et la Californie. Il y occuperait 1,6 million de km2. C’est réellement un problème mondial.

Mais il existe un autre continent, invisible, mais bien réel : celui du tabac.
Chaque année, 4 à 5 milliards de filtres à cigarettes polluent nos sols, nos trottoirs, nos espaces verts, nos fleuves, nos plages, nos océans.

Un paquet de cigarettes met 6 mois à se décomposer.
Un mégot possédant un filtre met 1 à 3 ans pour se décomposer.

Tous ces mégots, dont la plupart sont jetés à terre, viennent contaminer les rivières qui se jettent dans nos nos océans. La mer est ainsi infestée par les quelques 4 000 substances chimiques contenues dans chaque cigarette, dont plus de 50 sont directement cancérigènes.

De plus, chaque année, environ 3,5 millions d’hectares de terres sont détruits pour cultiver du tabac.
La culture du tabac est à l’origine de la perte de 600 millions d’arbres et utilise 22 milliards de tonnes d’eau.

L’empreinte carbone de cette industrie mortelle qui provient de la production, de la transformation et du transport du tabac équivaut à 1/5ème du CO2 produit par l’industrie du transport aérien commercial chaque année.

Contribuer à sauver la planète en prenant soin de vous, des autres et de l’environnement peut être un projet engageant.

Quelle est votre motivation pour arrêter de fumer ?

La bonne nouvelle, c’est que 48h après l’arrêt du tabac, toute trace de nicotine a disparu de votre corps.

Dans 9 mois, vos problèmes respiratoires ne seront plus qu’un souvenir. Vous respirerez plus facilement. La capacité de vos poumons aura augmenté.

Dans 5 ans, vos risques d’AVC seront les mêmes qu’un non-fumeur.
La bonne nouvelle, c’est qu’un être humain qui cesse d’être exposé au risque du tabagisme passif bénéficie des mêmes effets que le sevrage d’un fumeur.

La bonne nouvelle, c’est que l’arrêt du tabac améliore considérablement la qualité du sommeil.

La bonne nouvelle, c’est que les aliments vont retrouver de la saveur, les arômes vont retrouver leur puissance.

La bonne nouvelle, c’est que 72h après l’arrêt du tabac, vous constaterez un regain d’énergie.

La bonne nouvelle, c’est que dans 1 an, à la place de votre paquet de cigarettes quotidiens, vous pourrez partir voyager, vous offrir une formation, un cadeau qui vous tentait depuis longtemps.

Que choisissez-vous ?

L’hypnose permet de travailler sur les motivations à arrêter de fumer, sur le renforcement de la confiance en soi, sur le dégoût pour la cigarette, sur les envies compulsives de fumer tout en venant suggérer à l’Inconscient d’autres alternatives.

Prenez RDV.

Vous hésitez encore ?

Je propose un RDV téléphonique gratuit. Il suffit pour cela de m’envoyer un mail.

Nous verrons ensemble ce que cache votre addiction à la cigarette et si je suis la bonne personne pour travailler sur cette dépendance psychologique liée à la gestion des émotions : stress, colère, détente, plaisir…

Newsletter

Abonnez-vous à ma newsletter pour recevoir mes lettres et mon actualité.

Votre E-Mail ne sera communiquée à aucun tiers. Pour vous désinscrire, consultez la page RGPD et Cookies.

Vous êtes maintenant inscrit.e à ma newsletter, merci.